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Le blog des CM1B
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1 mars 2012

Les saynètes du moyen-âge

Le projet de la période était d'écrire une saynète se déroulant au moyen-âge. Encore une fois, il y avait une contrainte au niveau des personnages : chaque élève a pioché une carte etdevait jouer ce personnage.

En parallèle, chacun a travaillé sur un exposé, en groupe avec des camarades, pour tenter d'en savoir un peu plus sur ces fameux personnages (leur vie, leur métier...)

Les exposés sont réussis, les saynètes aussi (malheureusement, certains n'ont pas terminé le travail à temps, la saynète ne peut donc figurer sur le blog).

Félicitations à tous les élèves qui ont écrit les saynètes suivantes!

Bonne lecture!

 

La paysanne est heureuse, de Diego et Susana

Il était une fois, un jongleur qui s'était fait renvoyer car il ne faisait plus rire.

Le jongleur (se questionnant) : - Il faut que je retrouve un travail.

Il vit quelqu'un qui travaillait dans les champs.

Le jongleur (s'adressant à la dame dans les champs) : - Eh, bonjour madame!
La paysanne (étonnée de voir quelqu'un) : - Que me voulez vous,monsieur?
Le jongleur (joyeux de trouver quelqu’un) : - Je viens vous proposer mon aide,car je n'ai pas de travail.
La paysanne : - Oui avec joie!
Elle était tellement contente qu'elle dansa et tomba dans un seau d'eau.
Et c'est ainsi que le jongleur vint chaque jour aider la paysanne. Ils devinrent les meilleurs amis du monde.


Alger et les barbares, de Rayan

Il était une fois,un chevalier qui était en train de se préparer avec son écuyer, dans un château à Alger. Il s'appelait Rayan. Tout à coup,un charpentier vint déranger le chevalier et son écuyer.

Charpentier (qui s'appelait Mehdi) : - Vous êtes appelé par le roi!!!
Rayan: - Dites lui que j'arrive!
Charpentier: - Votre majesté,le chevalier arrive!
Rayan: - Qui a-t-il roi?
Roi: - Les barbares nous attaquent.

Pendant ce temps,les barbares escaladaient la grande muraille par surprise. Leur chef qui s'appelait Fadil arriva et dit à ses hommes d'envahir le royaume.

Rayan:- Vas me chercher les armes Mehdi!!
Mehdi: Oui chef!

Et le château commença à brûler. La guerre se déchaina. Fadil annonça que celui qui lui rapporterait la tête du roi aura tous ses trésors. Ses gardes commencèrent à le chercher. Mais il alla se cacher aux oubliettes qui étaient sans issue. Alors les gardes de Fadil tuèrent le roi. Rayan et Mehdi pleurèrent.

Un garde: - Ne vous inquiétez pas, la guerre est finie et il ne reste plus un barbare dans la cour.
Rayan (en séchant ses larmes) : - Vous êtes sûr?
Le garde: - Oui.
Rayan: - Alors nous allons élire un nouveau roi!

Et tout le monde fit la fête et un vote s'organisa pour un nouveau roi.


C'est bien mais pas normal, de Svetlana et Burak

Un jour, un homme du nom d'Éric arriva dans un petit village. Il vit un homme qui vendait des fruits.

Éric (en s'exclamant) : - Bonjour, monsieur! Je voudrais une pomme.
Jac : - Excusez-moi, monsieur. Je n'ai plus de pommes.
Éric : - Alors donnez-moi une banane.
Jac : - Tenez, monsieur. Cela fera 20 francs.

Jac avait remarqué qu'Eric était riche et bien habillé.

Jac (à toute vitesse) : - Je vous en prie, monsieur, entrez donc.

Éric entra et s'étonna.

Jac : - Mais je vous en prie, asseyez-vous donc.
Éric : - Que me voulez-vous, paysan?
Jac : - J'aimerais un couteau en fer?
Éric : - Un couteau? Et pour quand?
Jac : - Ça dépend. Combien de temps vous faut-il?
Éric : - Ca sera fait pour demain.
Jac : - D'accord!

La nuit passa et Éric fabriqua le couteau. Le matin, il alla voir le paysan.

Éric : - Voilà votre couteau!
Jac : - Merci!
Éric : - Voulez-vous autre chose?
Jac : - Oui, je voudrais des toilettes pour demain.
Éric : - Pour demain? Mais cela ne suffira pas!
Jac : - Dans ce cas, je vous laisse un an.
Éric : - D'accord.

Un an plus tard, les toilettes furent achevées. Éric alla voir le paysan. Mais il n'arrivait pas à prononcer le mot « toilettes ».

Éric : - Voici vos « cillètes ». Mais à quoi cela va-t-il vous servir.
Jac : - A quelque chose.

Éric rentra chez lui, toujours en train de se demander à quoi cela pourrait servir.


Les deux ennemies, de Myriam et Shonna

Dans un monastère, deux ennemies : une qui était très pauvre et l'autre qui était tout l'inverse de la tisserande. Elle était religieuse et habitait dans un monastère. La pauvre tisserande habitait seule dans une petite maison.

La tisserande (gentiment) : - Veux-tu que je te confectionne un manteau?
La religieuse : (très énervée) : - Depuis quand viens-tu me parler?

La tisserande repartit en versant quelques larmes. La religieuse vint la trouver.

La religieuse : - Attends chère amie, pourquoi pleures-tu?
La tisserande (vexée) : - Je pleure parce que tu ne veux pas que je te fasse un manteau.
La religieuse : - Parce que tu me dérangeais pendant mes prières, tu sais que c'est important pour moi!
La tisserande (tête baissée) : - Je te demandais juste si tu voulais que je te confectionne quelque chose.
La religieuse (en souriant): - Tu te rappelles quand tu as mis le pied dans le seau et que tu avais aspiré les spaghettis par le nez?
La tisserande : - Veux-tu que l'on redevienne amies?
La religieuse : - Bien sûr!


La reconversion au Moyen-Age, de Chaïma et Kerwan

Il était une fois une boulangère qui voulait devenir écuyer. Elle alla voir un écuyer professionnel à Paris.

Oliver (s'avançant vers Charlotte) : - Bonjour, madame!
Charlotte : - Bonjour, je m'appelle Charlotte. Je suis boulangère et je voudrais devenir écuyer. Peux-tu m'aider s'il te plait?
Oliver : - Bien sûr!

Le chevalier pour lequel travaillait Oliver lui cria alors d'aller nettoyer les sabots de son cheval. Ce qu'il fit mais le cheval fit caca sur sa tête.

Oliver (en criant) : - Aaaaaah! Il a fait caca sur ma tête!

L'écuyer revint ensuite vers Charlotte, une fois la tache accomplie.

Oliver : - Pour devenir écuyer, tu dois aller chercher l'épée du seigneur Jimmy.

Deux mois plus tard, elle la ramena.

Charlotte (en criant) : - J'ai réussi!

Elle devint alors l'écuyer d'Oliver, qui devint à son tour chevalier.


La jongleuse et la forgeronne, de Sarah et Amélia

Il était une fois, au moyen-âge, dans une ville, une jongleuse qui cherchait une maison et de la nourriture. Elle alla rencontrer la forgeronne pour lui demander conseil.

La jongleuse (en criant) : - Maman! Maman! Je vais chez la forgeronne pour qu'elle m'aide à trouver le seigneur!

Dans la forge, la forgeronne était occupée à travailler une épée.

La forgeronne (sèchement) : - Que veux-tu?
La jongleuse (timidement) : - Je voudrais aller chez le seigneur.
La forgeronne : - D'accord, suis-moi.

Arrivées chez le seigneur, celui-ci leur demanda ce qu'elles voulaient.

La jongleuse : - Je voudrais une maison, seigneur, s'il vous plait.

Le seigneur, à la place de la maison les invita chez lui et elles le remercièrent.


La tisserande et la paysanne, de Clara et Anastasia

Dans un petit village de province, vivaient deux jeunes filles : une tisserande et une paysanne.
Cette dernière, nommée Anabelle, passait chaque jour devant une maison où vivait une tisserande, du nom d'Amandine.
Amandine détestait la paysanne qui l'insultait souvent en passant devant chez elle.

Amandine (en colère) : - J'en ai assez que tu m'insultes! J'ai passé ma journée à tisser et toi tu me déranges.
Anabelle (tout étonnée) : - Qui? Moi?
Amandine : - Oui, toi, bien sûr!
Anabelle (lui tournant le dos) : - D'accord, je m'en vais!
Amandine (avec un air malicieux) : - Tu n'as pas envie de boire? Vas donc dans la cuisine...
Anabelle : - Oh, merci beaucoup!

La tisserande se dépêcha de remplir un seau d'eau et de la mettre sur la porte entrebâillée. Quelques instants après, la paysanne sortit en remerciant la tisserande. Mais le seau lui tomba dessus et elle s'en alla d'un air furieux.
On ne la revit plus jamais.


Dans le château fort du seigneur Victor, de Jimmy et Baver

Le chevalier : - Bonjour, Jimmy Boy!
Jimmy Boy (content de voir le chevalier) : - Bonjour!
Le chevalier : - Tu dois me préparer pour la guerre.
Jimmy Boy : - D'accord. Mais il va manquer du fer pour fabriquer l'armure.
Le chevalier : - Vas faire cette armure sinon je te tue! Donne-moi mon emploi du temps.
Jimmy Boy : - Demain, il y a la guerre avec El Matador.
Le chevalier (ravi d'apprendre cette nouvelle) : - Merci, écuyer.

Le chevalier du Faucon tua El Matador et fut le seul survivant.
Il dansa toute la nuit avec son compagnon Jimmy Boy pour fêter la victoire.

 
Les trois malheureux de Fadil,Vincent et Aurélien

Dans un champ, deux paysans travaillaient. Ils s'appelaient Fadil et Aurélien.

Vincent (s'avançant vers les paysans) : - Bonjour!
Fadil et Aurélien : - Bonjour monsieur le jongleur.
Fadil : - J'ai faim.
Aurélien : - Moi aussi....
Vincent: - Moi aussi ,comme vous.

Vincent, Aurélien, Fadil s'assirent à côté du champ.

Un garde (venant les chercher) : - Le Seigneur vous appelle, messieurs.

Fadil, Aurélien, Vincent : - On vient tout de suite.

Ils arrivèrent chez le seigneur, qui les attendait.

Le Seigneur : - Faites moi un spectacle".
Fadil, Aurélien, Vincent : - Tout de suite, mon Seigneur.
Le Seigneur : - J'ai bien aimé. Restez donc manger et dormir.
Fadil, Aurélien et Vincent (en choeur) : - Merci mon Seigneur pour votre bonté.

Le Seigneur et les garçons allèrent dans la salle à manger et dégustèrent un somptueux repas.

Fadil, Aurélien et Vincent (ensemble) : - Merci mon Seigneur pour ce bon repas.
Le Seigneur : C'est l'heure de se coucher.
Fadil, Aurélien et Vincent (joyeusement) : - Merci pour tout, Mon Seigneur.

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Commentaires
I
la maitresse elle est enceinte cette grosse bouffone
F
alors toi meissa boulila moulai c'est comment dire inconnu c'est comme sim je disais meissa moulai
P
meissa PLUS ali est egale a amour
A
Susanna + Mehdi = amour
G
DANIEL+AMELIA AMOUR
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